• Le GMAC, pour les non initiés, c'est l'abréviation de Grand Marché d'Art Contemporain.

    Il se tient en cette période de l'année sur les berges du port autonome de Paris à la Bastille. On peut y découvrir près de 500 artistes et artisans d'art qui exposent leurs oeuvres du mardi 27 octobre au dimanche 1er novembre.

     
    Voici ceux qui ont accroché mon intérêt. J'ai fait un lien sur leur site pour que vous en sachiez un peu plus sur eux.

    De façon générale, la sculpture m'a beaucoup enthousiasmée.

    Philippe Balayn réalise d'impressionnantes boîtes de conserves géantes en papier mâché... Plus vraies que nature !

     
    Encore du papier mâché pour les oeuvres de Nicole et Aude de Choulot qui sont autodidactes. Douées les deux soeurs !

     
    Mary Boo travaille le verre et en particulier les bouteilles pour en faire animaux ou fleurs.

     
    Dans le même ordre d'idées, Philippe Andrieux fabrique des vitraux et des suspensions.

     
    Quant à Thierry Daniel, il sculpte des fleurs...



    et fabrique de superbes bijoux.



    Mais la peinture n'est pas en reste. Elle m'a touchée aussi avec des artistes comme :

    Babakar Keeme Taane, un peintre sénégalais. Il peint ici des tonneaux qu'il découpe ensuite en petits morceaux verticaux et qu'il recompose au gré de sa fantaisie.

     
    Ansatu Schlumberger est une artiste puisant son inspiration dans les très nombreux voyages en solitaire qu'elle a effectués de par le monde. Elle vit et  travaille à Vaisons la Romaine.

     
    Sidné le fou qui a la chance d'habiter à Loix en Ré. Restaurateur de renom, il s'est reconverti depuis quelques années dans l'art pour notre plus grand plaisir.

     
    Du bois ou pas du bois ? Eh non, c'est un effet de la technique d'Alain Lapoujade qui excelle dans l'art de l'imitation de la matière.

     
    De drôles de taureaux peints par Laurent Dorchin.


     
     
    Je n'ai rien trouvé sur le net en ce qui concerne la peinture de Bernard Devie pourtant pleine de charme. Il utilise le cuivre et l'acrylique sur toile pour créer des oeuvres superbes tout en camailleux dont je décorerais bien notre salon...

     
    Ce qui m'a beaucoup plu dans cette ballade, c'est que j'ai pu parler à tous les artistes que je présente ici et j'ai eu l'impression que chacun d'eux prenait du plaisir à m'expliquer son travail avec la plus grande gentillesse.

    votre commentaire
  • Les journées du Patrimoine nous ont conduits ce dimanche dans le XVIIème arrondissement, dans le quartier des Batignolles (un quartier où j'allais fréquemment, étant petite, rendre visite à ma  tante Léa que son petit-fils, Guy, faisait damner à longueur de journée). Pour info, il est maintenant Directeur de la Gare Saint-Lazare... Comme quoi, il faut toujours garder de l'espoir !

    C'est en effet dans ce quartier que se trouve la Grande Loge de France que nous venons visiter cet après-midi. Une bonne heure d'attente tout de même... On n'est pas les seuls à avoir eu cette idée là...

    Le lieu : 8, rue de Puteaux exactement. Voici l'histoire de la rue trouvée sur ces panneaux si pratiques qui jalonnent les rues de Paris.

     
    Vers 1835, un ancien menuisier, Louis Puteaux, attiré par le vaste chantier de la naissance des Batignolles, se lance dans la construction immobilière. Il rachète en 1845 les bâtiments en ruine de l'abbaye cistercienne du Val (proche de l'Isle Adam). Les pieux matériaux, bon marché, lui servent à construire de nombreuses maisons du quartier. Parmi ses réalisations, l'école polonaise du Boulevard des Batignolles, le théâtre des arts Hébertot et d'innombrables maisons dont l'immeuble qui sert de siège à La Grande Loge de France.

    Louis Puteaux meurt en 1864 et la rue porte son nom depuis 1879.


    La première affectation de l'immeuble  était un couvent de moines Recollets. Vendu après les lois de 1905 sur la séparation de l’église et de l’Etat, l'immeuble est acquis par ses actuels occupants en 1910. C'est le siège de la Grande Loge de France.

    Voici l'entrée du bâtiment : rien de transcendant...


     
    La création officielle de la Grande Loge de France date de 1894.
    Héritière de la franc-maçonnerie du siècle des Lumières, elle n'a cessé depuis de travailler au progrès de l'homme au sens large du terme par la réflexion conjointe de ses membres. Forte de 30.000 membres au sein de 800 loges, la GLDF est la plus ancienne et l'une des principales obédiences maçonniques françaises.


     
    Un succès apparemment inatendu rend la visite un peu expéditive mais on nous assure
    que l'on pourra revenir voir ces lieux... en semaine et sans payer de surcroît !

    La visite commence par le passage obligé dans l'atrium qui est en fait l'ancien cloître du couvent des Récollets qui a été couvert par un plafond lumineux et réaménagé en salle d'exposition. On ne s'y attarde pas trop... juste le temps de quelques photos.



    Sans rentrer dans les détails (vue mon incompétence en la matière !), je ne vous parlerai que d'une chose dont je sois sûre : l'existence de trois degrés dans la Franc-maçonnerie :

    Le premier, c'est "l'Apprenti" : l'apprenti n'a pas droit à la parole. Tant qu'il n'a pas franchi ce degré, il ne lui est permis que d'écouter et d'apprendre
    auprès de ses "frères" (cela dure environ deux ans).

    Le Deuxième, c'est "le Compagnon" : une marche de plus dans la hiérarchie.

    Le Troisième et dernier degré à franchir : c'est celui qui permet de devenir "Maître".
    Le Grand-Maître est élu par ses "frères" pour une durée d'un an renouvelable trois fois.

    Des "cordons" de Maître


     
    Un "tablier" de Maître (du XVIIème siècle) portant les insignes de la Franc-Maçonnerie
    (les "lacs d'amour" ou noeuds de corde, les piliers, l'équerre et le compas etc etc...)


     
    Nous sommes ensuite conviés à rejoindre un autre Franc-Maçon qui nous instruit sur la Bibliothèque qui renferme 15000 ouvrages dont certains sont uniques au monde. Notre guide (à droite sur la photo) a choisi de se démasquer... mais l'ordre formel est de ne pas dévoiler le nom d'un autre "frère" sans son consentement.


     
    L'exemplaire original du "Maçon démasqué" date de 1751.

     
    Notre guide nous explique que la plupart des archives de la Franc-Maçonnerie ont été pillées pendant la guerre par les Nazis, emmenées à Berlin, puis récupérées par les Russes et stockées en Silésie. Jusqu'au jour où le ministère des affaires étrangères russe a contacté son homologue français pour signaler qu'ils possédaient ces documents dont ils ne savaient plus que faire... et voilà comment ces précieux documents ont réintégré leur place originelle !


    En témoigne cette boite à archives rendue à la France par l'URSS en 2001.


     
    Direction le temple Franklin-Roosevelt inauguré en 1948.
    Tiens, il était Franc-Maçon lui aussi ! (tout comme Cambacérès ou Lafayette entre autres)

    Aux couleurs de la France, bleu blanc et rouge avec un sol à damiers blanc et noir, un des nombreux symboles de cette corporation si mystérieuse...


     
    Le Grand-Maître adjoint, M. Joël Gregogna, nous fait visiter sa "loge", une sorte de petit temple où les Francs-Maçons se réunissent une fois toutes les deux semaines pendant 3 heures pour débattre de l'ordre du jour.



    « Nous sommes une société discrète et non secrète,
    c’est pourquoi nous permettons à tous de venir sur place échanger
    avec nous » dit Alain-Noël Dubart, Grand Maitre récemment élu
    à la tête de la Grand Loge de France.


     
    OUF !

    votre commentaire
  •  A l'occasion de la réouverture de la Sainte-Chapelle du château de Vincennes, et après trois années de restauration,


     
    le Centre des monuments nationaux présente, en collaboration avec le ministère de la culture de la République de Bulgarie, une exposition exceptionnelle consacrée aux icônes bulgares et à d'autres chefs-d'œuvre de l'art orthodoxe balkanique sur une période de seize siècles (du IVème siècle au XIXème siècle).

    Les trésors des icônes bulgares

    c'est une centaine d'oeuvres dont 80 icônes, 7 manuscrits et 4 sculptures.



    Des structures de bois rappelant les monastères d'où ces icônes sont issues permettent de déambuler aisément au son d'une musique médiévale discrète tout en abritant ces chefs-d'œuvre de la peinture sur bois des ravages de la lumière.

     
    Sainte Nedelya, martyre chrétienne du IIIème siècle née en Asie mineure sous le règne de l'empereur Dioclétien.


    Déisis
    Le Christ entouré de Marie et de Saint Jean-Baptiste


     
    La nativité de la vierge


     
    Saint Théodore (céramique du Xème siècle)

     
    Saint apôtre (fresque de la fin du XIIIème siècle)


     
    Une bonne façon de revisiter cette chapelle construite sous le règne de Charles V.

    votre commentaire
  • ou bonne année du boeuf de terre si vous préférez.

    Bien sûr, La Poste n'a pas manqué l'événement.


    Chic : c'est notre année à tous les deux !
    Si vous voulez savoir sous quel signe chinois vous êtes né, cliquez ici.

    Mais pourquoi donc l'an 4707 ?
    Ce dessin de Martin Vidberg  mérite quelques explications.



    Selon le calendrier de l'empereur Jaune Huang-Ti, considéré comme le père de la civilisation chinoise, nous sommes aujourd'hui en l'an 4707.

    En effet, celui-ci a été conçu en l'an -2698.

    Faites le calcul : -2698 + 2009 = 4707 : c'est tout simple !

    Mais revenons à nos moutons...
    (pardon : à notre buffle !)

    Quelques rappels concernant cette fête.


    Le premier jour du mois lunaire ("Yan Dan") se situe entre le 20 et le 18 février.
    En Chine, c'est la plus grande fête de l'année. La fête du renouveau ("Guo Nian")
    est associée à une période de congés, de rassemblements familiaux, de mariages
    et de nombreuses réjouissances. Elle dure en principe 4 jours, c'est l'occasion
    de défilés grandioses un peu partout dans le monde mis en scène
    par la diaspora chinoise (1,3 milliard de Chinois).

    Une fête sur plusieurs jours

    Le nouvel an chinois est précédé d'une période préliminaire qui commence
    au solstice d'hiver
    , période où les maisons doivent être nettoyées
    de fond en comble afin de chasser les malheurs de l'année écoulée
    et des offrandes sont données au dieu du foyer. Ces dernières consistent
    en des plats et du vin accompagnés de sucreries sensées lui coller la bouche
    de manière à ce qu'il ne puisse pas dénoncer la famille à l'empereur céleste lorsqu'il ira rendre compte de ses actions lors de son prochain voyage de 4 jours.

    La veille du nouvel an, tout est entrepris pour obtenir les meilleures augures

    pour la nouvelle année. S'opère alors le rituel du "Cinian" ("prendre congé de l'année") par lequel on rend hommage aux ancêtres avec de l'encens, des offrandes

    et des prières et où l'on rend visite aux amis et aux proches pour leur souhaiter

    une bonne année. Vient ensuite la préparation du banquet du nouvel an proprement dit. Des emblèmes porte-bonheur sont accrochés à l'entrée des maisons, les magasins étalent leurs marchandises avec profusion et à prix bradés.

     Le jour du nouvel an, le banquet, qui était réservé exclusivement à la famille la veille au soir, s'ouvre aux amis. Le menu est copieux et les mets variés exigent une longue préparation. Les deux spécialités culinaires du nouvel an chinois sont les raviolis "Jiaozi" et le gâteau "Niango". A la fin du repas, les parents donnent des étrennes aux enfants dans une enveloppe rouge.

     Enfin, durant cette journée du nouvel an, ne cessent de résonner les pétards qui canardent la ville pour chasser les mauvais esprits. Cette tradition est très prisée par les chinois : à Pékin cette année près de 400 000 caisses d'explosifs (pétards et feux d'artifices) ont été apprêtées pour l'occasion, soit trois fois plus qu'en 1993.

     Cette période de festivités se clôture définitivement 15 jours plus tard lors de la fête des lanternes où l'on accroche des lampions multicolores à la tombée de la nuit de pleine lune.

     Chaque année sous le règne d'un animal

     Le calendrier chinois est placé chaque année sous l'aune de l'un des 12 animaux qui se sont présentés jadis devant le Bouddha avant sa disparition.

    Il s'agit du Buffle, du Rat, du Tigre, du Chat, du Dragon, du Serpent, du Cheval, du Chien, du Singe, du Coq, du Chien et du Cochon. Chacun d'eux symbolise un caractère comme par exemple la sagesse pour le Singe. Ils sont également associés à l'un des 5 éléments (Ciel, Terre, Eau, Feu, Métal). Le cycle complet dure 60 ans.

    Nos prénoms en signes chinois !

     

     

     

     

    Philippe                                                          Claire



    Vous voulez voir votre prénom "traduit" en chinois ? Cliquez ici. 

    Les Chinois portent un nom de famille composé généralement d'un seul ou deux caractères comme Su ou Sima.

    Le prénom est en général composé de deux caractères qui désignent deux prénoms.

    L'un appelé "Ming" ou prénom d'enfance est donné par le père quand le bébé a trois mois et seuls les intimes comme les parents l'utilisent. L'autre appelé "Zi" ou prénom social est attribué plus tard et est utilisé par les connaissances et les amis.

    Le choix du prénom : une dimension symbolique

    Dans la tradition chinoise, le choix du prénom détermine le destin de celui qui le porte. A la différence de l'Occident, un prénom chinois ne figure pas parmi une liste. Le prénom est, en Chine une création ex nihilo pour tel ou tel enfant. Ce sont les parents, ou une personne compétente et habilitée par eux, qui choisissent le prénom de l'enfant. Dans le choix des mots entrent en jeu tous les éléments composant les sinogrammes qui doivent être pris en compte : l'aspect phonique, l'aspect sémantique et l'aspect graphique, dans leurs relations avec l'autre mot qui forme le prénom, mais aussi avec le nom de famille. La création d'un prénom répond aussi à des objectifs clairs que sont la réussite dans les études et dans la vie professionnelle, une bonne santé et la fortune. Il ne faut pas oublier non plus d'assurer la continuité et la prospérité du lignage.

    Les prénoms chinois féminins

    Dans la culture traditionnelle chinoise, la femme doit être douce, décorative, belle et aimable. Ainsi les prénoms féminins comportaient un terme relatif à la composition, à l'expression, aux fleurs, aux oiseaux ou encore aux bijoux. On y retrouvera les mots ting (gracieuse), mei (enchanteresse), hua (fleur), feng (phoenix), huan (anneau), yin (argent) et yan (magnifique). Aujourd'hui, on donne en Chine des prénoms proches des prénoms masculins pour évoquer des qualités de caractère et de détermination.

     Les prénoms chinois masculins

    De leur côté les prénoms masculins font référence à l'un des ancêtres, à une connotation militaire ou à la virilité. Par exemple, shaozu (faites honneur à nos ancêtres), zhenbang ( rajeunir le pays), gang (acier), zhijiang (esprit ferme) et jinsong (pin droit). Mais les prénoms chinois peuvent aussi exprimer les souhaits et les espoirs de la famille du père par des noms tel Ren Youcheng (réussite).


    votre commentaire
  • Hier soir, promenade sur les Champs Elysées en direction du Studio Gabriel où est diffusée en direct, l'émisssion culturelle hebdomadaire de Pierre Lescure, l'ancien PDG de Canal+,

     
     
    "Ca balance à Paris"
    diffusée le samedi soir sur Paris Première.
     


    Devant le Pavillon de l'Elysée : c'est chouette Paris, non ?


     
    Les bassins du Rond-Point des Champs-Elysées sont gelés...



    Le Pavillon Gabriel et, à droite, le studio du même nom. L'endroit est toujours super surveillé par la police car il est situé jute à côté de l'Ambassade des Etats-Unis...

     
    Dans le hall, une immense photo et les autographes de toutes les personnalités
    ayant été invitées aux trois émissions produites par Michel Drucker
    (Ripostes sur France 5, Vivement Dimanche sur France2 et Ca balance à Paris sur Paris Première).




    et le studio aménagé pour l'émission du soir. Au plafond, quelques projos...


     
    Au fond : c'est là que Sébastien, l'homme à tout faire (celui à qui l'on confirme son inscription par téléphone et qui place les invités), nous a fait asseoir... pour qu'on ne voie pas la chemise à carreaux de Philippe.
     
    Pas de pot : la prochaine fois, je veillerai à ce qu'il mette de l'uni !



    Par ailleurs, nous, nous avions des dossiers,ce qui n'était pas le cas de tout le monde !
    Certains spectateurs ont même été invités à s'asseoir dos aux invités,
    quitte à prendre une posture décontractée pendant l'enregistrement de l'émission.



     
    C'est tout ce que vous verrez de l'émission... (le direct interdit les photos) qui réunissait plusieurs chroniqueurs de renom, tels que Philippe Tesson, Elisabeth Quin, Thomas Hervé ou encore Géraldine Maillet.

    L'émission passe en revue l'actualité culturelle de la semaine : Livres, films, spectacles.

    Nous avons ainsi pu écouter les avis des uns et des autres sur :
     
    ► le livre de Philippe Sollers "Les voyageurs du temps" publié cette semaine chez Gallimard et dont je sais définitivement que je ne me risquerai pas à la lire (!),

    ► et le film "Che l'argentain" de Steven Soderbergh
    que nous irons probablement voir bientôt.


    Invités surprises : Philippe Sollers donc pour son livre Nietchéen très controversé.


     
    Christophe Alévêque que l'on ne présente plus...
    (beau mec tout de même !)


     
    et Laurent Lafitte qui se produit en ce moment au Petit Palais des Glaces. Un humoriste qui monte apparemment et dont on nous a fait de très grands éloges.
    (la critique était unanime)


     
    Le voici, à la fin du spectacle, en chair et en os.

     
    En train de discuter ici avec Christophe Alévêque à droite. Géraldine Maillet de dos, à gauche (donc vous ne saurez pas quelle tête a cette chroniqueuse autrefois top model)..., Pierre Lescure et Thomas Hervé. Philippe Tesson, le plus connu, pas de pot non plus : il est aussi de dos !

    Il va falloir s'enhardir, Philippe, si tu veux percer dans le dur métier de reporter photos...



    Bref, une sortie sur Paris bien intéressante : à refaire à l'occasion !

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique