• Cet été, j'ai reçu un mail d'Anne-Marie Guérin, la Présidente de notre association, qui m'informait du décès brutal d'Henri Pousset, le précédent président de Générations 13, que je connaissais (superficiellement) depuis sept ans que j'adhère à l'association.

    Un numéro spécial de notre journal va être imprimé pour lui rendre hommage.

    Comme je participe désormais à la préparation de ce journal et que j'en assure la mise en page, j'ai eu en main tous les articles qui ont été écrits à cet effet. Avec Robert Henri, le Rédacteur du journal, nous avons dû faire un choix car nombreux étaient les gens qui voulaient lui dire un dernier adieu. Il faut dire - vous le verrez en lisant le journal - qu'Henri était un homme exceptionnel.

    Je l'ai vu pour la dernière fois en mai dernier alors que je participais à la "grande dictée intergénérationnelle" organisée par la Mairie du 13ème en collaboration avec l'Education Nationale.

    Il était si content de se prêter à cette photo en situation !

    Le Président d'honneur de Générations 13 nous a quittés

    Pour télécharger le journal en pdf, cliquez ICI

    Je vais regretter son sourire omniprésent...


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  • Ce lundi 17 juin, tandis que les lycéens planchaient sur les épreuves de français du baccalauréat, quatre classes de CM1-CM2 et quatre-vingt-dix seniors avaient été réunis dans la grande salle des fêtes de la Mairie du 13ème par Jérôme Coumet, son Maire.

    L'objectif : une dictée intergénérationnelle.

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    La salle des fêtes de notre mairie possède un très joli plafond.

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Est-ce une tapisserie des Gobelins... ? La réponse ne se trouve pas sur le net.

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Notre Présidente, Anne-Marie Guérin, pose ici pour la photo-souvenir à côté de Jérôme Coumet et des organisatrices de la manifestation.

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Le thème abordé était tout à fait d'actualité puisqu'il s'agissait d'un extrait de Notre-Dame de Paris de Victor Hugo décrivant un incendie à Notre-Dame... Le romancier voulait apparemment attirer l'attention sur l'état de l'édifice et réhabiliter le monument tombé en décrépitude au XIXème siècle.

    "Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure."

    Les seniors, arrivés les premiers, ont été invités à s'asseoir à des tables de 6, à raison de 2-3 par table. Les élèves ont ensuite rempli les "trous", les filles choisissant souvent de se regrouper entre elles et les garçons de même. Vous ne verrez pas de photos des jeunes adolescents car elles ont été interdites par le Ministère...

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Notre ancien Président, Henri Pousset, ravi de participer à cette manifestation, a pris place à une table avec deux autres adhérents.

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Après le discours du Maire,

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    une institutrice a lu la dictée dans un silence absolu (nous avons tous souri quand elle a insisté sur le mot "relâche", pour faire comprendre aux ados que le mot portait un accent circonflexe...) et les copies ont été ramassées non sans qu'il ait été demandé aux seniors d'aider les jeunes dans leur relecture.

    La consigne était de noter son nom et son numéro de table (il y en avait environ 35).

    Puis, pendant que les corrections étaient effectuées par des bénévoles, un goûter a été servi aux participants suivi d'un petit concert donné par le Conservatoire de musique du 13ème (dont je n'ai pas été autorisée à prendre des photos).

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Derrière des paravents, un exemplaire de la dictée attend chacun des correcteurs bénévoles.

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    Chacun se concentre sur ses copies : pour certains, c'est le retour au métier qu'ils ont exercé !

    Une dictée intergénérationnelle à la Mairie du 13ème

    A la fin des corrections, les copies ont été rendues table par table à tous les participants. La dictée avait été préparée en classe le matin même et certains adolescents ont "cartonné" tandis que d'autres montraient des lacunes certaines en orthographe...

    Parmi les seniors, les disparités étaient identiques.

    Pour la petite histoire, les trois jeunes ados de l'école de la Providence que nous avions à notre table, Anne-Marie Guérin, Guy Perronet et moi, nous ont demandé dans quelle maison de retraite nous étions, anticipant un peu sur l'avenir... !

    Un moment d'échange intergénérationnel fort sympathique


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  • Ce samedi avait lieu la première représentation du spectacle donné par "La Joyeuse Troupe" , cet atelier théâtre de Générations13 réunissant des bénévoles passionnés par les planches.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Cette année elle avait lieu au Totem, la nouvelle salle de spectacle de la Mairie du 13ème, dans un contexte de Gilets Jaunes (la manifestation passait ce samedi là par la rue de Tolbiac) et de pluie battante.

    Le quartier, cerné par la Police...

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Ces conditions particulières n'ont pas empêché les adhérents de G13 de venir assez nombreux écouter les comédiens amateurs.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Notre Maire, Jérôme Coumet, s'est lui-même déplacé pour serrer la pince aux artistes en coulisse et assister au début du spectacle : le voici avec Hélène qui dirige l'atelier.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

     A l'entrée de la salle, Geneviève, souriante, accueille les spectateurs.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Sur la table, le programme du spectacle et un petit panier prévu pour récolter la participation des spectateurs à l'issue de la représentation, le "chapeau" en quelque sorte.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Dans les coulisses, les acteurs se préparent à la représentation... Jacqueline sera la souffleuse et présentera aussi le spectacle.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Viviane et Monique

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem 

    On répète son texte... (Nicole, Nadine et Juliette)

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Le spectacle peut commencer : Hélène annonce qu'il va durer deux heures avec la participation de quelques nouveaux bénévoles qui, naturellement sont un peu stressés...

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Jacqueline présente la première pièce : Un chapeau de paille d'Italie d'Eugène Labiche

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Félix (Helena), le domestique de Fadinard, conte fleurette à Virginie (Viviane), la bonne de chez Beauperthuis tandis qu'arrive l'oncle Vézinet (Nicole) sourd comme un pot, apportant son cadeau de noces à son neveu.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Sur ces entrefaites,Fadinard (Jacques), le marié, arrive de Charenton. Il leur explique que le matin même son cheval a brouté le chapeau de paille d'une dame, orné de coquelicots : en compensation, Fadinard a jeté 20 sous à la dame !

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Emile Tavernier (Charles), un militaire, se dit être le cavalier d'Anaïs de Beauperthuis (Monique) qui est en réalité une femme mariée (c'est la dame au chapeau)...

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    La scène chez Clara, la modiste (c'est Léa, qui fait son service civique à G13 cette année, qui a pris le rôle) : Fadinard vient lui commander un chapeau de paille pour remplacer celui que le cheval à malencontreusement mangé...

    Pour bien entendre, montez à fond le volume de votre haut-parleur.

    La Baronne de Champigny (Nadine) et Achille (Tatiana), son cousin

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

     Les bénévoles étant nombreux, le rôle de Fadinard est maintenant tenu par Juliette.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Clothilde (Monique), la femme de chambre de la Baronne, remet à Fadinard (Juliette) le chapeau que sa maîtresse lui a confié mais il ne s'agit que d'un chapeau noir et non pas du fameux chapeau de paille d'Italie orné de coquelicots... Hélas, la Baronne l'a donné la semaine passée à sa nièce qui n'est autre... qu'Anaïs de Beauperthuis !

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Bobin, le cousin de la mariée (Léa), Nonancourt (Gérard), le beau-père du marié, Vézinet (Annie a repris le rôle de Nicole), Fadinard (Juliette) et Hélène (Diane), la mariée

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

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    La troupe présente ensuite une danse d'origine française créée par Olivier Metra (1830-1889) qui se danse à huit. Cette danse était très à la mode jusqu'au milieu du XXème siècle. Elle a remporté un franc succès au Canada et en Louisiane ; c'est l'ancêtre de la Country.

    Le quadrille des lanciers : Les moulinets

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    A suivi un extrait d'une petite pièce de Sacha Guitry qu'Hélène a intitulée "Rencontre au jardin" (la pièce originale s'appelle "Fausse alerte" : elle se passait pendant la guerre), se moquant de l'inconséquence féminine.

    J'ai bien aimé cette petite pièce jouée avec beaucoup d'humour par Tatiana et NicoleMalheureusement, faute de connaître la durée de la pièce à l'avance, j'ai stoppé mon enregistrement quelques minutes avant sa fin, mon bras commençant à fatiguer...

    Trop drôle le chien à roulettes !

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Tatiana à gauche et Nicole à droite

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

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    La troisième pièce est une "pièce rose" de Jean Anouilh intitulée "Le bal des voleurs". Il s'agit d'une oeuvre de jeunesse de l'écrivain.

    La riche mais vieille Lady Hurf (Juliette) s'ennuie à Vichy ainsi que ses deux nièces, Eva (Viviane) et Juliette (Hélène) et son vieil ami Lord Edgard (Charles).

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    La tante (Juliette) et ses deux nièces, Eva (Viviane) et Juliette (Hélène)

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    L'arrivée de trois voleurs, Peterbono, le chef (Gérard), Hector le séducteur (Nadine) et Gustave l'apprenti (Annie), va tout changer. En effet, Hector flirte avec Eva tandis que Gustave et Juliette sont tombés amoureux.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Lord Edgar lit le Times dans un square en compagnie de Lady Hurf.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Celle-ci fait semblant de reconnaître dans le chef des voleurs (qui a décidé de se faire passer, lui et ses acolytes, pour des grands d'Espagne ruinés par la Révolution) le duc de Miraflor (Gérard) qu'elle a connu autrefois à Biarritz et elle invite donc les trois bougres à séjourner dans sa villa.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Hector et Peterbono sont ravis mais Gustave est malheureux de devoir jouer la comédie à sa bien-aimée, Juliette, qui sent que quelque chose ne va pas...

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Alors que tous sont partis au Casino où est organisé, croient-ils, un Bal des Voleurs, Gustave décide de piller la maison et de s'enfuir tout seul, tout de suite : pour cela, il bâillonne Juliette.

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    Mais celle-ci insiste pour partir avec lui...

    Représentation de "La Joyeuse Troupe" au Totem

    A leur retour du Casino, tous soupçonnent Gustave d'avoir enlevé Juliette mais justement celui-ci la ramène pour lui épargner une vie de voleur. C'est alors que Lord Edgard prétend reconnaître en Gustave un fils qu'on lui aurait volé en bas âge pour permettre à Lady Hurf de consentir au mariage...

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    L'après-midi s'est clôturée par une autre danse, le Charleston cette fois-ci.

    Beaucoup de travail en amont pour cette représentation qui sera suivie d'une deuxième le 25 mai prochain. Hélène a dû choisir des passages de la pièce de Labiche car celle-ci aurait été trop longue à apprendre pour ses acteurs non professionnels. Il fallait aussi s'atteler à la recherche des costumes et des accessoires...

    Bravo à Hélène et aux acteurs pour leur implication !

    Une après-midi non perturbée au final, c'est une chance...


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  • Tous les ans, Célia fait un affichage à Générations 13 de nos travaux de l'année.

    Chacun doit choisir quatre de ses dessins préférés.

    Expo photos de mon atelier dessin

    La voici en train de fixer les peintures acryliques de Marie-Claude sur un carton-plume.

    Expo photos de mon atelier dessin

    Evelyne s'occupe de son côté de disposer ses quatre dessins.

    Expo photos de mon atelier dessin

    Accrochage de mes dessins (vous les connaissez déjà...)

    Expo photos de mon atelier dessin

    Les dessins de Margaux, d'Evelyne et de (?)

    Expo photos de mon atelier dessin

    De plus près, ceux d'Evelyne : un as du crayon à papier et des fonds. On reconnait bien son style, extrêmement précis (regardez la coiffe en dentelle qu'elle a dessinée : plus vraie que nature !).

    Expo photos de mon atelier dessin

    Les dessins à l'encre de Margaux, très délicats aussi.

    Expo photos de mon atelier dessin

    Chacune de nous a son style, correspondant le plus souvent à sa personnalité.

    Voici deux pastels et un crayon de Simone qui est une "instinctive"... Parfois, elle ne termine pas ses dessins, leur donnant plus de force : c'est d'ailleurs un conseil de Célia que je n'ai pas encore réussi à suivre...

    Expo photos de mon atelier dessin

     

    Expo photos de mon atelier dessin

    Les peintures acryliques de Marie-Claude

    J'ai bien aimé celui où l'on voit les grilles de la fenêtre de l'association.

    Expo photos de mon atelier dessin

    Qui a fait ces dessins et avec quel outil ?

    Expo photos de mon atelier dessin


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  • Mon association, Générations 13, dont le slogan est "Bien vivre ensemble pour mieux vieillir" vient de sortir son journal trimestriel dont l'éditorial a été écrit par Martine Mandopoulos-Clemente qui s'occupe plus spécialement de l'aspect santé.

    Je vous le livre ici car je le trouve vraiment bien vu.

    Après un été torride et un automne marqué par de nombreux événements climatiques inhabituels tels que inondations torrentielles, tempêtes tropicales... on ne peut qu'être inquiets. "Winter is coming" pour reprendre le slogan de la célèbre série "Game of thrones".

    Comment en est-on arrivés là ? Au sortir de la deuxième guerre mondiale on a bénéficié en Europe du bien-être avec l'acquisition de biens matériels qui ont souvent simplifié la vie (par exemple la machine à laver, le réfrigérateur, la voiture individuelle...).

    Sans nier l'amélioration de nos vies quotidiennes grâce à la révolution industrielle par rapport à celle de nos ancêtres du Moyen-Age, il faut bien constater que ces biens matériels se révèlent bien peu durables (obsolescence programmée) et contribuent à polluer notre planète.

    On est devant ce paradoxe : l'humanité n'a jamais bénéficié de tant de bien-être (au moins dans les pays qui en profitent), la pauvreté a reculé ainsi que la violence nous dit-on. Pourtant il semble bien que cela ne soit pas si évident selon la partie du monde où l'on vit, grandit et meurt. C'est ainsi que s'impose l'idée que l'on se dirige vers une catastrophe écologique.

    L'agriculture intensive et l'utilisation des engrais et pesticides ont exténué les sols et exterminé les espèces : le constat est qu'il y a de moins en moins d'oiseaux et d'insectes. Les nappes phréatiques sont polluées par ces divers produits.

    La campagne de notre enfance a disparu avec le remembrement des années 60 et nous en payons le prix avec des inondations catastrophiques.

    La sur exploitation des mers par la pêche industrielle contribue à la disparition des espèces. un exemple nous concerne d'ailleurs de près : la disparition progressive du thon en méditerranée.

    L'industrie alimentaire fournit à bon marché de la malbouffe surchargée en sel, en sucre et en graisses qui rendent malades les plus pauvres et intoxiquent les jeunes générations en en faisant des êtres moins résistants.

    On pourrait à l'infini faire une liste des catastrophes écologiques à venir. Comment donc réagir face à ces catastrophes annoncées à notre niveau de citoyen lambda ?

    On observe une mobilisation citoyenne sur le sujet comme en témoigne le film de Cyril DION "Demain" sorti en 2015 qui présente sur le mode optimiste toutes les réalisations qui permettent de contrer la catastrophe annoncée.

    Le mouvement du "colibri" table sur le fait que chacun peut à son niveau œuvrer pour le sauvetage de la planète. Cet automne le manifeste "Nous voulons des coquelicots" lancé par Fabrice Nicolino, rescapé de Charlie Hebdo, et François Vieillerette, directeur de l'ONG "Générations futures", demande que soient interdits les pesticides en France. Ce mouvement citoyen apolitique veut que des mesures concrètes soient prises en faisant pression sur les politiques : des manifestations de citoyens se forment chaque mois dans toute la France pour appuyer cette revendication.

    Si une prise de conscience citoyenne apparaît de nature à renverser la tendance peut-être que tout n'est pas perdu et qu'un monde plus sain se profile pour nos enfants et nos petits-enfants.

    N'est-il pas important que nous soyons partie-prenante de ces combats parce que nous sommes les générations qui ont profité des bienfaits que l'industrialisation a permis, c'est à notre tour d'être présents auprès des jeunes générations pour préserver notre terre qui est encore le seul endroit où l'on sait vivre ?

     


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