• Paris à nos pieds

    Une montée (virtuelle) à l'Arc de triomphe ça vous dirait ?
     
     
     C'est qu'il faut la mériter la vue sur Paris...
     
    Pas moins de 284 marches et pas d'ascenseur ! L'arc culmine en effet à 55 mètres de haut.

    Ca y est : nous voici en haut (au niveau du rond rouge). (Un escalier pour la montée et un autre pour la descente)


    Encore quelques marches et l'on arrive dans une vaste salle voutée qui sert de musée. Des écrans géants permettent de visionner des vidéos des scuptures qui recouvrent le monument
    à la gloire de Napoléon 1er et de la Grande-Armée.


     

    En face, une scupture représente un "poilu" de la grande guerre devant une multitude de palmes en bronze, hommages rendus à la mémoire du soldat inconnu.


    Commencé en 1806, l'arc de triomphe n'est achevé que 30 ans plus tard sous Louis-Philippe. C'est l'architecte Jean-François Chalgrin qui en fait les plans en s'inspirant de modèles antiques satisfaisant le goût de Napoléon pour l'antiquité,

    Une reproduction de la Marseillaise de François Rude qui décore le côté faisant face à l'avenue des Champs Elysées.


    Une caméra vidéo montre en live les passants qui se trouvent tout en bas de l'arc au niveau de la tombe du soldat inconnu.


     
    Puis c'est la terrasse panoramique !


    Vue de l'avenue des Champs Elysées avec tout au fond le Louvre.


    Côté tour Eiffel


    En continuant à tourner dans le sens des aiguilles d'un montre, on découvre les gratte-ciel et l'arche de la Défense.


    Vient ensuite la vue sur le Sacré Coeur


    Et l'on termine par une vue sur le sud de la capitale. C'est dans cette direction que l'on crèche, juste derrière l'affreuse Tour Montparnasse...


    Et voilà : le tour est joué !
    (c'est le cas de le dire)

    Quelques détails des haut-reliefs qui couvrent les quatre piles de l'arc.

    En haut à gauche, "La Marseillaise" est de François Rude (1792). La scupture représente une femme ailée nommée Liberté suivie de soldats partant au combat. Les lignes en diagonales donnent beaucoup de force à l'oeuvre.

    En haut à droite, "Le triomphe de Napoléon" est de Jean-Pierre Cortot (1810). Ce haut-relief est beaucoup moins vivant que celui de Rude. Disons qu'il est plus académique. Il montre l'Empereur victorieux.

    En bas,
    "La République" et "La paix" d'Antoine Etaix.



    Une visite en compagnie de mon amie Michèle.

    Vous savez quel jour ? Le jour de la rentrée des classes !

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