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Par Tolbiac204 le 2 Juin 2019 à 23:00
Dimanche dernier, nous sommes allés à Versailles : fidèles de Radio Classique que nous écoutons régulièrement quand nous sommes dans le bureau, j'avais reçu une invitation - via la newsletter de la chaîne musicale - pour aller écouter Franck Ferrand qui délocalisait son émission quotidienne "Franck Ferrand raconte" au théâtre Montansier.
En arrivant devant le théâtre à 16h45 (l'entrée des spectateurs étant prévue à 17h30), je prends la queue tandis que Philippe trouve une borne accueillante pour poser son popotin : cela m'a valu d'être sur la photo prise par la chaîne, soucieuse de faire sa promotion, devant le théâtre tandis que la queue s'allongeait à vue d'oeil.
Bon, d'accord, il faut le savoir mais tout de même...
Mais le théâtre, me direz-vous, à quoi ressemble-t-il ?
C'est un bâtiment très classique né sous l’impulsion de Marguerite Brunet, dite Mademoiselle Montansier, qui rachète le terrain au frère du roi, le comte de Provence (futur Louis XVIII). Il a été inauguré le 18 novembre 1777, en présence de Louis XVI et Marie-Antoinette.
Mademoiselle Montansier était une fort jolie femme et... elle eut beaucoup d'amants !
Jean-François Heurtier, architecte du roi, est choisi pour faire les plans du théâtre, et les travaux sont menés par Boullet, machiniste de l’Opéra royal, en moins de dix mois.
Mais l'heure tourne et les portes du théâtre s'ouvrent à nous...
Joli, ce candélabre...
Franck Ferrand fait salle comble : étant parmi les premiers dans la file d'attente, nous avons pu nous asseoir à l'orchestre, au quatrième rang, suffisamment près pour bien voir l'historien.
Il y a du beau monde ce soir (même François-Xavier Bellamy nous dit Franck Ferrand dont il est l'ami). La soirée est présentée par Geneviève Dichamp, co-directrice du théâtre, en présence de François Mazières, Maire de Versailles (à gauche) et de Jean-Francis Pécresse, directeur de Radio-Classique.
Si l'émission de Radio Classique animée par Franck Ferrand se passe à Versailles aujourd'hui, c'est justement parce que l'historien a choisi de nous conter l'histoire de cette ville au fil des siècles. Cinq épisodes d'une trentaine de minutes chacun qui, enregistrés en direct ici, seront diffusés sur la chaîne dans la semaine du 10 au 14 juin prochains.
En entrant dans la salle, on est tout de suite ébloui par la magnificence du lieu : il s'agit d'un des plus anciens théâtres à l'italienne de France : il a été inauguré en 1777 en présence de Louis XVI et de Marie-Antoinette.
Le plafond est sublime.
C'est Charles Séchan, peintre décorateur connu pour avoir travaillé à l’Opéra de Paris, la Comédie Française, l’Assemblée Nationale, et à qui l’on doit le plafond du grand salon du château de Vaux le Vicomte, qui l'a réalisé en 1851 : il y a peint un treillis de fleurs.
Vous vous demandez d'où j'ai bien pu prendre ces photos... ? C'est que pendant l'entracte, au lieu d'aller grignoter quelque chose au foyer, je suis allée me promener partout !
Le théâtre est bleu, blanc et or, des tons très doux et reposants pour les yeux.
Encadrant la scène, deux loges décorées de jolies cariatides
Cet escalier dessert les étages, donnant accès aux trois balcons.
Au troisième balcon, une seule rangée de sièges mais la visibilité est bonne, du moins quand on est de face.
Franck Ferrand a enregistré trois émissions avant l'entracte.
Dans la première, il nous narre la signature du "Traité de Versailles", dont on fête cette année le centenaire : un traité de paix signé dans la Grande Galerie (la Galerie des Glaces actuelle) le 28 juin 1919 entre l'Allemagne et les Alliés et qui a mis fin à la première guerre mondiale.
Si vous écoutez l'émission (ci-dessous), vous verrez pourquoi Franck Ferrand fait maintenant son émission sur la chaîne musicale "Radio-Classique" : il y insère de temps à autres de courts extraits d’œuvres choisies, se rapportant généralement au sujet du jour comme ici ce morceau d'Albéric Magnard, un compositeur mort pendant les premiers jours de la guerre alors qu'il tentait lui-même de repousser avec son propre fusil les allemands de son manoir...
La seconde émission enregistrée ce jour-là était consacrée au développement du bourg de Versailles. Le terme de "versail", daté du XI e siècle, aurait désigné à l'origine des terres labourées (retournées).
Au début du XVIème siècle, Versailles n'est qu'un petit village de 400 habitants, situé au carrefour de voies de commerce, mais un certain Louis XIV va lui donner de l'importance dès le mois de mai 1671 en offrant aux habitants désireux d'y faire construire des maisons l'exemption de la servitude du "logement par la craie" pendant dix ans. Les fourriers des logis inscrivaient en effet un nombre d'hôtes - à la craie - sur les portes des logis, ce qui signifiait que les propriétaires de ces maisons devaient loger des courtisans quand ces derniers accompagnent le roi à Versailles, lors des grandes fêtes qui y étaient organisées.
La construction des maisons (que l'on aperçoit autour de l'église à gauche) devait bien sûr respecter un programme architectural très strict (des briques, de la craie, des toits d'ardoise à pans coupés) à l'image du château royal.
Le château de Versailles en 1668 par Pierre Patel
Pour écouter l'épisode, cliquez ci-dessous.
La troisième émission enregistrée au théâtre Montansier était consacrée au départ du Roi pour Paris en conséquence de la Révolution : Versailles se retrouve du jour au lendemain vidée des courtisans au train de vie fastueux avec toutes les conséquences qu'on imagine pour les commerçants qui s'y étaient installés depuis de nombreuses années.
Pour en savoir plus, cliquez ci-dessous.
Quant à la quatrième émission, elle est consacrée à l'occupation prussienne (1871-1879).
Après le désastre de Sedan du 3 septembre 1870, le nouveau Maire de la ville, Charles Rameau, décide, en liaison avec le Conservateur du Louvre, d'évacuer un certain nombre d’œuvres d'art inestimables à Paris, comme le tableau d'Eugène Delacroix "L'entrée des croisés à Constantinople".
Pendant ce temps la Galerie des Glaces (alors appelée Galerie Louis XIII) est transformée en ambulance militaire par les prussiens.
Occupation prussienne oblige, chaque dimanche un office luthérien est célébré dans la chapelle de Louis XIV, un comble pour le signataire de la révocation de l'édit de Nantes...
Pour Noël, les prussiens s'étant bien installés en France, importent à Versailles dans toutes les maisons qu'ils occupent le fameux "sapin de Noël"...
A peine la guerre finie..., Versailles devient le point de mire de tout ce que la France compte d'important : les députés, précédemment exilés à Bordeaux, ont besoin de siéger à nouveau près de Paris : c'est Versailles qu'ils choisissent. C'est seulement le 22 juillet 1879, une fois l'insurrection terminée, qu'une loi fixe le retour des Chambres à Paris.
L'ultime enregistrement était intitulée "Versailles vue par les écrivains". Pour l'écouter, cliquez ci-dessous.
Franck Ferrand, à l'issue de trois heures d'enregistrement, a tombé la veste... : c'est quelqu'un de très accessible qui fait volontiers, hors antenne, de petits apartés concernant sa vie. Il nous a bien fait rire en nous disant que quand il était enfant il jouait à être Louis XIV !
Une très bonne après-midi culturelle
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Par Tolbiac204 le 10 Mai 2019 à 23:00
J'ai découvert ce soir le petit court métrage d'Arte intitulé Athleticus que j'ai trouvé si drôle que je vous en fait profiter...
Diplômé de l'Ecole supérieur d'infographie "Supinfocom" (promotion 2002), Nicolas Deveaux en est - avec Grégory Baranès - l'auteur. Passionné par le monde animal, il l'explore avec humour, poésie et surréalisme.
Athleticus est une série d'animation en 3D (de quelques minutes seulement) mettant en scène des animaux sauvages (en images de synthèse vraiment bluffantes) pratiquant des sports conçus pour les humains.
Dans cet épisode, un hippopotame défie une tortue à la barre fixe. Je ne vous en dit pas plus...
Amusez-vous bien !
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Par Tolbiac204 le 5 Mai 2019 à 19:00
Je viens d'écouter une émission sur Chérie 25 que je ne connaissais pas : elle s'appelle "Sous les jupons de l'histoire" et est animée par Christine Bravo qui s'entoure de trois historiens pour les besoins de son émission ainsi que d'une spécialiste de la mode et d'un chef cuisinier.
L'émission est constituée d'une série de petites séquences faisant intervenir des petites marionnettes : elle est donc très ludique. Christine Bravo était aujourd'hui absolument passionnante dans l'émission consacrée à Sarah Bernhardt.
J'ai appris beaucoup de choses sur la grande comédienne, et en particulier qu'elle avait bien d'autres dons que celui de jouer la tragédie : elle faisait en outre - et avec talent - de la sculpture et de la peinture.
Sarah Bernhardt a fait des tournées dans le monde entier et - chose incroyable - elle jouait partout "en français"...
J'ai aussi appris qu'à l'âge de 70 ans elle s'était fait amputer d'une jambe dont le genou la faisait énormément souffrir du fait d'une tuberculose osseuse - et ceci sans anesthésie - en solidarité avec les poilus de la guerre de 14-18... Voilà pourquoi, à la fin de sa carrière, elle jouait toujours assise, ce qui lui valut le nom de "La mère la chaise" !
C'était aussi apparemment une femme très engagée.
Si vous voulez en savoir plus..., l'émission est ICI : j'ai réussi à la trouver en streaming sur un blog spécialisé intitulé "Mes séries streaming" dont je remercie l'auteur au passage.
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Par Tolbiac204 le 19 Avril 2019 à 23:00
Je suis allée visiter au mois d'avril dernier - sur les conseils de mon amie Michèle - une exposition au Musée Maillol présentant la Collection laissée par Emil Bührle, un collectionneur allemand qui s'est intéressé à l’Impressionnisme.
Arlette, ma soeur, m'attend devant l'entrée du Musée Maillol situé rue de Grenelle.
Celle-ci jouxte l'Hôtel Bouchardon voisin et sa Fontaine des Quatre Saisons.
A l'intérieur du Musée, un escalier moderne a été créé dans le hall d'entrée pour desservir l'étage où se trouve l'accès à l'exposition.
Présentée pour la première fois en France, cette collection, réunie entre 1936 et 1956 à Zurich, propose un panorama de l'art français du XIXème au début du XXème siècle.
L'exposition (en tout une soixantaine d’œuvres) parcourt plusieurs courants de l'art moderne : les grands noms de l'impressionnisme (Manet, Monet, Pissaro, Degas, Renoir, Sisley) et du postimpressionnisme (Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Toulouse-Lautrec), les débuts du XXème siècle avec les Nabis (Bonnard, Vuillard), les Fauves et les Cubistes (Braque, Derain, Vlaminck), et l'Ecole de Paris (Modigliani), pour finir avec Picasso.
Ça et là, quelques sculptures d'Aristide Maillol
Méditerrannée - Bronze d'Alexis Rudier - (1902-1905)
J'ai sélectionné les oeuvres qui m'ont le plus enthousiasmée.
La Liseuse de Camille Corot (1845-1850)
Dans ce tableau, Corot atteint au sublime d'un Vermeer...
Camille Pissaro : Route d'Osny, à Pontoise - gelée blanche (1873)
Alfred Sisley - Chalands à Saint-Mammès (1885)
Le peintre installe souvent son chevalet sur les rives du canal, sensible aux variations des couleurs du paysage et de la lumière, aux reflets de l'onde, aux scènes de la vie fluviale...
Camille Pissaro - Route de Versailles , Louveciennes - neige (1870)
Henri Fantin-Latour - Pivoines et pêches (1873)
Henri de Toulouse-Lautrec - Messaline (1900-1901)
La troisième femme de l'Empereur Claude se livrait, dit-on, à la prostitution dans les bas quartiers de Rome. Ayant fomenté la mort de son époux, elle fut exécutée sommairement en l'an 48.
Edouard Vuillard - Le salon des Natanson, rue Saint-Florentin (1897-1898)
J'ai aimé le côté évanescent du tableau où l'on voit l'autre côté de la pièce dans un miroir.
Edouard Vuillard - Le numéro d'illusionniste (1895)
Peintre des intérieurs, Vuillard tire aussi son inspiration du monde du spectacle comme ici dans ce cabaret qui pourrait être l'actuel Musée Grévin.
Aristide Maillol : Torse de Printemps - Bronze d'Emile Godard (1911)
Une autre partie de l'exposition était intitulée "L'audace de la couleur".
Maurice de Vlaminck : Nature morte aux oranges (1907-1908)
Paul Gauguin : Nature morte au couteau (1901)
Paul Gauguin : Tournesols sur un fauteuil (1901)
Maurice de Vlaminck : Chaland sur la Seine au Pecq (1906)
Vlaminck tout comme Derain découvrent Van Gogh à la Galerie Bernheim dix ans après la mort de l'artiste. Leur voix est tracée...
Van Gogh - Tête de paysanne (1885)
Van Gogh : Les ponts d'Asnières (1887)
Van Gogh est à Paris depuis un an quand il peint cette toile.
Van Gogh : Le semeur, soleil couchant (1888)
Le paysan est couronné d'une auréole : un hommage à Jean-François Millet...
Van Gogh : Branche de marronnier en fleurs (1890)
Paul Cézanne : Le garçon au gilet rouge (1888-1890)
Ici, le peintre ne s'attache pas aux proportions de son sujet (le bras et l'oreille sont disproportionnés) mais plutôt à traduire la disposition d'esprit profonde du personnage.
Paul Cézanne : Le jardinier Vallier (1904-1906)
Paul Cézanne : Autoportrait à la palette (1886-1887)
Par contre, dans cet autoportrait, aucune dimension psychologique : est-ce une manière de se protéger de l'extérieur... ?
L'atelier d'Aristide Maillol a été reconstitué ici.
André Derain : Scène d'intérieur (vers 1904)
Le peintre a été influencé par Van Gogh et par Gauguin. L'emploi massif du rouge relie ce tableau au Fauvisme.
Amedeo Modigliani : Nu couché (1916)
Modigliani commence sa carrière comme sculpteur mais une santé affaiblie par les maladies et les excès le contraint à abandonner le maillet pour le pinceau.
La fin de l'expo avec ce tableau de Picasso : L'Italienne (1917)
D'abord circonspect par rapport à Picasso, Emil Bührle change d'avis en visitant une exposition à Milan : il fait alors l'acquisition de l'Italienne.
Une vidéo qui vous en dit plus sur Emil Bührle et sa collection
En sortant du musée, Arlette m'a emmenée voir un joli passage voisin d'ailleurs dénommé le "Beaupassage" qui permet à la rue de Grenelle et à la rue du Bac de communiquer avec le boulevard Raspail. L'une de ses entrées se trouve tout à côté de l'Hôtel Bouchardon.
Il s'agit d'une galerie gourmande à ciel ouvert où plusieurs chefs renommés officient (Anne-Sophie Pic ou Thierry Marx) et elle fait la part belle à l'art contemporain et au végétal.
Le double chêne tricentenaire de Frabrice Hyber (une réminiscence de la vallée vendéenne de son enfance)
Nous avons pris un petit café ici...
Les immeubles sont très jolis et proprets.
La fresque Grans Bwa de Romain Bernini, conçue à la manière d'un paysage hallucinatoire avec une forêt luxuriante aux couleurs psychédéliques, envahit les murs de l'entrée côté rue du Bac.
Les mangoustes de Beauvais (Stefan Rinck)
Comme vous le voyez, ce passage est très arboré et d'un calme olympien en plein Paris !
Et quand les arbres ne sont pas présents, ils sont remplacés par des sculptures (ici, l'arbre neuronal de Marc Vellay) ...
Le "clou" du passage : la sculpture d'Eva Jospin intitulée "La Traversée" (eh oui, c'est la fille du ministre !) Il s'agit d'un corridor long de 28 mètres et haut de 5.30 mètres : une forêt de carton formant un immense haut-relief...
Impressionnant...
Arlette devant une très jolie boutique de fleurs donnant sur le boulevard Raspail
Une agréable après-midi
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Par Tolbiac204 le 13 Avril 2019 à 23:00
Samedi dernier, mon petit cousin Didier, qui habite Munich, est venu passer le week-end à Paris avec son plus jeune fils, Elijah. Didier vient en France chaque année à cette époque avec l'un de ses trois enfants pour garder le lien avec la famille française de son père et, presque à chaque fois, nous passons une journée ensemble.
Cette fois-ci Elijah avait émis l'idée de visiter le Musée Grévin et comme je n'avais pas vu ce dernier depuis de nombreuses années, je me suis jointe à eux. Le musée se trouve sur les Grands Boulevards, juste à côté du Passage Jouffroy.
La première pièce dans laquelle on entre est la Salle des Mirages, une pièce circulaire couverte de miroirs donnant à la pièce un air de galerie des glaces.
Commence ensuite la visite : certaines vedettes sont particulièrement réussies comme Omar Sy, plus vrai que nature.
Si je ne savais pas qu'Elijah est à Paris en chair et en os, j'aurais un doute ! Aurait-il rencontré Angelina Jolie... ?
Mon petit cousin a l'art de se mettre en scène à l'instar des personnages de cire (il discute ici avec Al Pacino et Léa Salamé).
Les moyens modernes permettent maintenant de s'identifier aux stars en prenant leur visage.
Kad Mérad visitait le musée lui aussi dirait-on...
Le musée possède un très joli petit théâtre dans lequel ont été mis en scène plusieurs personnages de cire dans des attitudes tellement naturelles qu'on se demande si on ne rêve pas...
Catherine Frot déclamant avec Didier
Cécilia Bartoli trône sur la scène dans un costume créé pour elle par Agostino Cavalca pour le concert "Sacrificium".
tandis que Roberto Benigni l'acclame aux premières loges...
Je n'ai pas identifié le personnage à perruque à côté du double de Fabrice Luchini...
Mais à qui donc appartient ce bras... ?
A Elijah !
Elijah teste la similitude des formes...
Irrésistible Arturo Brachetti... Il ne sera jamais resté habillé aussi longtemps qu'ici !
Pas très réussi Gérard Depardieu, je trouve.
Par contre, Gabin, extra
Le beau Serge
Vous aurez reconnu Amélie Nothomb à son fameux chapeau.
Jean d'Ormesson, le grand séducteur...
Simone Veil n'est pas vraiment arrangée... Elle était plus jolie que ça, il me semble.
Toujours jovial le Pape François !
Naturellement, Elijah ne pouvait pas manquer celle-là...
Stéphane Bern à côté de la Reine bien sûr
Celui-là, j'espère qu'on n'en n'entendra plus parler dans l'avenir !
Elle l'a séduit avec sa guitare...
Notre Président, pas formidable de ressemblance
Le domaine de la gastronomie avec Alain Ducasse et Sophie Pic
Sans oublier Paul Bocuse
Changement de registre avec Nostradamus
Einstein et sa fameuse chevelure...
Evidemment Thomas Pesquet y a aussi sa place...
Un bond en arrière : Didier a les cheveux longs..., pratique pour faire l'homme des cavernes !
Un vrai gamin !
Tel père, tel fils
Sans avoir connu Jeanne d'Arc, je la trouve très crédible.
L'invention de l'imprimerie avec Gutemberg
Ah ce Didier !
Le Roi Soleil, superbe
Voltaire et Diderot réunis à la même table
Un peu plus tard, une certaine Charlotte va passer à l'action...
Bonaparte aux pyramides
Van Gogh à côté d'Andy Wharol
Salvador et Pablo au café
Camille Claudel sculptant un buste de Rodin
Mon petit cousin a aussi un très bon coup de crayon : ce mur permet de dessiner avec le doigt...
Nelson Mandela savourant sa victoire sur le racisme...
La belle Brigitte au summum de sa beauté
L'auteur de 20.000 lieues sous les mers
Le cinéma d'animation et la BD ne sont pas oubliés...
L'âge de glace
Titeuf
Nous voici arrivés dans l'espace dédié aux sports. Costaud le mec !
Elijah a pris place parmi les joueurs de hand...
Vous me direz de qui il s'agit... !
Nous approchons de la fin de la visite avec cette grande pièce où se trouvent rassemblés toutes sortes de vedettes du monde de la musique.
Voici Edith Piaf dans sa sempiternelle petite robe noire...
et notre Johnny national
Sympa cet espace avec Ray Charles et Henri Salvador
Et voici Louis Armstrong et sa trompette
Toujours dans le monde de la musique : Michael Jackson
Le milieu de la mode est aussi représenté.
Jean-Paul Gauthier est mon styliste préféré.
Et voici Coco Chanel dans l'un de ses si célèbres petits tailleurs.
On quitte le musée avec le sourire de Charlot...
et celui de Pierre Richard, qui fait aussi beaucoup rire ou sourire.
Je n'avais pas revu le musée depuis de nombreuses années : j'ai donc trouvé beaucoup de nouveautés mais Didier, mon petit cousin, m'a dit que l'ayant vu l'année passée avec un autre de ses fils, il avait aussi trouvé de nouveaux mannequins de cire.
Et je n'ai mis dans ce post que quelques unes des innombrables statues de cire du Musée...
Sympa !
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