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Par Tolbiac204 le 23 Juillet 2011 à 00:12
Un temps plus que maussade pour ce week-end prolongé en Touraine... Mais il en faut plus pour nous décourager d'aller visiter le Futuroscope à Poitiers qui n'est qu'à une heure et demie de route de Continvoir où nous séjournons depuis la veille chez mon amie Michelle.
Un robot marque l'entrée du parc.
Le parc de 50 hectares abrite une vingtaine d'attractions appelées "expériences" au sens de "tout ce qui est appréhendé par les sens et constitue la matière de la connaissance humaine". Une tour panoramique ou gyrotour permet d'en avoir une vue d'ensemble. Notre programme, très chargé, ne nous a pas permis de l'expérimenter... mais voici quelques vues prises depuis le plancher des vaches !
Notre visite commence par le Pavillon de la Vienne où nous vivons, installés dans des fauteuils mobiles munis d'une barre de sécurité..., des instants très dynamiques nous faisant découvrir le département de la Vienne : attachez vos ceintures !
Lorànt Deutsch nous emmène ensuite dans les étoiles pour l'attraction intitulée "Chocs cosmiques". Nous nous installons cette fois-ci dans des fauteuils fixes orientés vers un dôme figurant la voûte céleste pour assister au big bang ayant donné naissance à la vie sur terre.
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Nous continuons notre visite par l'Imax 3D où nous assistons à la projection d'un film intitulé "Astromouches" : un dessin animé en 3D dont les héros sont 3 mouches ayant décidé de squatter le casque d'un astronaute pour participer à l'aventure spatiale d'Appolo 11. un petit film plein d'humour et de tendresse.
Les parents attendris regardent leurs progénitures entrer dans l'histoire...
Sur notre chemin, le V-173 ou "crêpe volante" : pas d'ailes sur ce modèle d'avion américain des années 40 à décollage vertical.
Le Kinémax est un cristal de quartz géant où l'environnement se reflète.
Nous y avons vu, entre deux endormissements, un film sur Van Gogh...
Les vitres de ce pavillon sont nettoyées tous les 2 ans par des alpinistes professionnels.
Dans le parc, des sculptures de Jean-Louis Toutain sont exposées actuellement.
Nous voici maintenant embarqués à nouveau dans une attraction dynamique... Elle a pour nom "EcoDingo" ! Passage au travers des ailes d'une forêt d'éoliennes, circulation à grande vitesse dans un canyon ou parmi les buildings de New York : vous n'avez pas le choix, il faut aller jusqu'au bout de l'aventure. 1'04 de frisson et de rire assurés !
Allez, continuons dans le dynamique : ça procure des sensations. Direction "Arthur, l'aventure 4D". Vous l'aurez compris, nous allons entrer dans le monde microscopique des Minimoys : il s'agit d'une nouveauté 2011 qui a demandé 2 ans de travail aux ingénieurs et aux décorateurs, sous la direction même de Luc Besson.
Mais pour cela, il nous faut être patients car l'attraction est très courue. La queue circule au sein du jardin de la grand-mère d'Arthur et nous voici rapetissés à la taille des coquelicots !
Philippe, fan d'Arthur, a insisté pour que je le prenne en photo avec Bétamèche...
Et maintenant une autre nouveauté 2011 : l'expérience en Imax 3D "Monstres des mers" produite par National Geographic qui se passe dans le "Solido", une sphère de 33 mètres de diamètre dont la moitié est occupée par l'écran et l'autre par les gradins . A nos lunettes ! Nous y faisons connaissance avec les dinosaures marins qui vivaient il y a 82 millions d'années... Dommage que la mise en scène présentant un "dolichorynchops" poursuivi par un dinosaure soit accompagnée d'un commentaire vraiment infantilisant !
Un "doli" pour les intimes, en images de synthèse bien sûr
Il ne manquait à cette intéressante visite que le soleil...
(un temps idéal pour aller dans les "salles obscures" en fait !)
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Par Tolbiac204 le 16 Avril 2011 à 20:57
Depuis plus de 10 ans que nous habitons le 13ème arrondissement, nous ne l'avions pas encore visité... Impardonable n'est-ce pas ! Heureusement, cet oubli est réparé grâce à l'association "Secrets de Paris" qui nous a proposé hier une visite guidée du quartier chinois fort bien documentée et bien sûr très pittoresque.
Rendez-vous donné au coin des avenues d'Ivry et de Choisy : station Vélib.
Ca tombe bien, on est venus en vélo !
La communauté "chinoise" est composée dans ce quartier à 80% par des chinois et à 20% par des vietnamiens, des laotiens ou des cambodgiens. Elle représente 12% de la population totale du 13ème arrondissement de Paris, soit 20 000 personnes. La prospérité économique du quartier dont elle est à l'origine a fait monter le prix de l'immobilier et la population a dû migrer vers d'autres quartiers plus populaires pour se loger, tout en y conservant leur activité commerciale : de l'herboristerie au cabinet radiologique en passant par les pharmacies et les banques bien sûr (le nerf de la guerre), toutes les enseignes sont chinoises (traduites en français aussi car c'est une population qui s'est bien intégrée).
Thomas Dufresne, notre guide, commence la visite en nous faisant découvrir une véritable caverne d'Ali Baba en matière d'herboristerie naturelle "La calebasse verte", située dans une petite rue donnant sur l'avenue de Choisy. Ici, on trouve de tout pour se soigner des pieds à la tête mais attention : il faut savoir ce qu'on vient y chercher car on n'y donne aucun conseil et on y perd son latin en entendant parler... chinois !
En continuant l'avenue de Choisy, on passe devant plusieurs restaurants : notre guide nous signale au numéro 44, "Au bonheur d'Asie" qui offre un buffet à volonté pour 10-11 euros en semaine le midi, un peu plus cher en week-end. Il faut payer le buffet avant de déguster... Il faudra qu'on l'essaie !
A moins qu'on ne teste une autre fois, toujours sur les conseils de notre guide "l'Impérial Choisy" au numéro 32, un bon restaurant même si l'accueil n'est pas son fort... On se bouscule souvent pour y avoir une place et manger des plats (que l'on ne trouve pas partout) pour environ 25-30 euros.
Un peu de nourriture spirituelle pour changer : notre promenade nous entraîne maintenant vers Notre Dame de Chine, une église consacrée en 2006 et réservée à la communauté chinoise de Paris. Elle est située au 27, avenue de Choisy tout contre l'église Saint-Hypolite qui, quoique suffisament grande, s'adaptait mal aux besoins d'une communauté catholique fraîchement sortie du communisme et qui ne se reconnaissait pas dans une église traditionnelle française présentant Jésus sous les traits d'un enfant blond aux yeux bleus...
Un chemin pavé sinueux symbolisant le dragon que l'on doit chevaucher avant d'entrer dans une construction chinoise guide les fidèles jusqu'à l'entrée de l'église.
Notre guide devant l'église
Même si ici les missels sont les mêmes qu'à Saint-Hyppolite et mis à disposition des fidèles contre ce mur fait de galets provenant des plages normandes,
le petit Jésus a les yeux bridés (!) et un poisson dans la main qui représente, dans la culture chinoise, les chrétiens.
Nous traversons ensuite le centre Massena en passant près du restaurant "Chine Massena" qui peut recevoir jsuqu'à 800 convives lors des mariages qui s'y déroulent...
pour aller nous ballader dans un des hypermarchés chinois du quartier : j'ai nommé "Paris Store", le concurrent des "Frères Tang".
Au plafond du magasin, les lanternes donnent le ton.
L'alimentation au rez-de-chaussée est approvisionnée avec des produits typiquement chinois. Ici, des fruits du dragon que je me propose de déguster un de ces quatre...
A l'étage, un dragon de tissu décore le magasin. De la vaisselle : en veux-tu en voilà et aussi des jeux d'échecs, des fleurs artificielles pour fêter l'arrivée du printemps, des bouddhas, des petits autels pour la maison (Le culte des ancêtres n'est pas oublié) etc etc... Bref, ici c'est la Chine !
fdqfqd
Sitôt sortis du magasin, nous nous retrouvons sur la dalle des Olympiades cernée par les buildings construits dans les années 60-70 pour mettre fin à l'insalubrité de certains quartiers du 13ème, juste avant l'afflux des boat-people..., une chance pour les architectes dont le projet commençait à tomber à l'eau !
C'est dans cet univers de béton que se trouve "l'amicale des Teochew en France", un lieu de culte bouddhiste bien sûr mais aussi d'identité culturelle de cette communauté issue de la province du Guangdong au sud du pays.
Deux grands brûle-parfums (placés à l'exptérieur du temple pour des raisons de sécurité) marquent l'entrée du temple qui occupe un espace de 200 m².
A l'intérieur, après s'être déchaussés, on accède à une première petite salle où trône la statue du "grand immortel Huang", sereinement installé parmi les offrandes. Huang Chuping est né en 328 de l'ère chrétienne sous la dynastie . A l'âge de 15 ans, il se retira dans une grotte pour y étudier la Voie et comprendre les principes du taoïsme afin de devenir immortel. Après avoir toruvé la Voie, il parvint à devenir immortel après quarante années d'efforts. Il est vénéré en tant qu'immortel qui apporte fortune et bonheur.
On entre ensuite dans la salle principale du culte où dix-huit "Luohan" (arhat en sanscrit) d'allure plus ou moins étrange, voire menaçante... (9 de chaque côté) apportent néanmoins vertu et bonté à tous. Ce sont des gardiens immortels et protecteurs de la Loi, disciples de Bouddha. En Chine, ils sont vénérés, adorés et honorés depuis les dynasties Tang, soit depuis 1500 ans environ... Les pupitres ne servent pas à faire de la musique contrairement à ce que l'on pourrait penser : les fidèles bouddhistes y accomplissent les gestes prescrits par la tradition face à l'autel principal où sont situés les trois Bouddhas.
Deux autres autels latéraux permettent aux fidèles de venir se recueillir.
Mais retrouvons la vie avec la Chine ouvrière. le magasin "Chhay Hac" de la galerie marchande vend et répare les machines à coudre : un vieux souvenir pour nous français du 21ème siècle... et un peu de nostalgie peut-être ?
Dans le magasin "Ao-Ta", on trouve de riches brocards nous dit notre guide.
En témoigne ce mannequin qui trône en vitrine.
Et puis, la dalle des Olympiades, c'est encore le domaine des restaurants !
"L'Asia Palace" (44, avenue d'Ivry) propose le canard laqué de Pékin en trois services : la peau croustillante servie avec des crêpes chinoises, la soupe de canard et les nouilles sautées qui accompagnent la viande, le tout pour 64 euros : un plat qui peut convenir pour 2 personnes (gourmandes) ou 4 plus petits appétits !
Rue du disque, c'est aussi l'adresse de ce temple dédié au culte de Bouddha. Mais pour trouver le temple, mieux vaut y avoir été conduit par un connaisseur : il se trouve au numéro 37 mais... dans le parking sousterrain de l'immeuble !
Autant, comme vous pouvez le constater, les abords sont sinistres... autant à l'intérieur y règne une grande sérénité. Est-ce parce que nous sommes samedi ou est-ce tous les jours, je ne sais pas, mais il y avait ici réunis près des autels dédiés au Bouddha plusieurs musiciens jouant des instruments typiques (instruments à vent, violon à 3 cordes) qui n'ont pas prêté attention à notre intrusion (discrète). Note : ici, on n'enlève pas ses chaussures !
Au fait, mon signe chinois est le buffle ! et le vôtre ? Cliquez ici pour savoir.
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Par Tolbiac204 le 8 Janvier 2011 à 21:17
d'autres se contentent du Rallye Paris-tour Eiffel !
Tout a commencé par 2 heures d'attente au sortir du tram qui suit les boulevards des maréchaux en direction de l'ouest et dont le terminus se trouve non loin du pont du Garigliano où nous avions rendez-vous avec Catherine... C'est vrai qu'il fallait une sacrée organisation (*) pour acheminer ces randonneurs arrivant par cars entiers de toutes les régions de France. Leur but : se ballader dans la capitale qui a revêtu ses habits de lumière à cette époque de l'année et terminer la randonnée par une petite bouffe !
2 heures, c'est long : on passe le temps avec l'appareil photo.
(*) C'est l'association "le Godillot" située à Paris qui assure
l'organisation du rallye pour la 25ème année consécutive.
Mes godillots à moi, les voici : de simples chaussures de sport confortables.
Oh, j'ai oublié de flouter la marque... zut, je risque d'avoir le CSA sur le dos !
Aussitôt Catherine arrivée, nous prenons la direction de la tour Eiffel
en longeant les quais de la Seine. Ici, nous passons sous le pont Mirabeau.
Désolée si la photo est floue : la nuit commence à tomber
et l'objectif principal de cette soirée, ce n'est pas la photo mais la marche !
Un bateau à aube
loin du brouhaha des voitures
Passage sous le pont de Grenelle où se trouve la réplique liliputienne
que les Etats-Unis nous ont offert de la statue de la Liberté
construite pour New-York par Bartholdi.
On arrive enfin en vue de "la dame de fer" qui nous éblouit de ses feux.
Mais que fait Philippe au milieu de tous ces randonneurs, lui qui n'a pas pris ses chaussures de randonnée, pensant juste m'accompagner au point de rendez-vous ?
Ah... il a succombé au charme de sa cousine Catherine !
Nous partons ensuite mêlés à une foule dense de randonneurs, sac au dos,
(il paraît qu'on était plus de 10.000 !) vers le Trocadéro d'où l'on a la meilleure vue
sur la tour Eiffel et le champ de Mars.
Eh oui : la pluie est de la partie pour cette fin de soirée...
Puis, nous rejoignons l'avenue des Champs Elysées que nous descendons
depuis l'Arc de Triomphe jusqu'à la place de la Concorde.
Au passage, petite photo des fontaines lumineuses du Rond-Point des Champs Elysées.
Pas très originales les décorations de Noël cette année : les mêmes que l'année dernière !
L'Obélisque de la Concorde et le manège de la Grande roue
A la Concorde, nous prenons un métro pour aller manger un Kebab à l'île de Crête,
rue Mouffetard. Les cars repartent à 22 heures, il ne faut pas trop traîner.
Allez, l'an prochain on fera le Paris-Dakar pour aller manger un bon couscous au mil !
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Par Tolbiac204 le 11 Décembre 2010 à 21:24
Ce samedi soir, nous n'étions pas seuls sur le boulevard Haussmann...
Tout comme nous, la foule des badauds était venue admirer les vitrines animées et les façades des grands magasins ayant revêtu, à l'approche de Noël, leurs habits de lumières pour la joie des petits... et des grands !
Bon, il fallait tout de même jouer des coudes, je ne vous mentirai pas...
Les "Galeries Farfouillette", comme aurait dit Maman, ont choisi de mettre à l'honneur cette année les comédies musicales des années 50 à nos jours avec le thème "Show Chaud Noël". Cette année, c'est l'artiste italien Valerio Festi qui a été choisi pour habiller la célèbre façade du magasin dans toute sa splendeur.
Tout à côté, le Printemps n'est pas en reste côté lumières et décoration des vitrines.
D'ailleurs, la foule s'y presse tout autant.
Ses harmonies : le rose et le vert
On en a plein les mirettes pour pas un rond..., l'un des avantages de la Capitale.
D'ailleurs, les enfants ne s'y trompent pas en léchant les vitrines...
Un petit tour à l'intérieur histoire de se réchauffer un peu
L'auteur de cette photo ?
fdsf
André
Rendez-vous l'an prochain pour d'autres images féériques
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Par Tolbiac204 le 31 Juillet 2010 à 21:27
Ce samedi, nous avons pris la route de Versailles en compagnie de nos cousins rouennais pour la visite d'un château que nous n'avions pas visité depuis longtemps les uns et les autres et une balade musicale nocturne dans les jardins illuminés, intitulée "les grandes eaux nocturnes".
Les toitures et les grilles du château ont été redorés récemment pour restituer le luxe du Grand Siècle (même un peu excessivement à notre goût). Heureusement, les outrages du temps vont se charger d'atténuer ce côté clinquant qui plaisait tant au au Roi Soleil.
Tiens ! en parlant de soleil : le voici au centre de l'horloge qui orne le frontispice de la façade principale.
et voici un très beau tableau du Roi en costume de sacre
La chambre du monarque, en velours cramoisi, est orientée au soleil levant. Trois rois s'y sont succédé même si seul Louis XIV y dormait. Louis XV et Louis XVI ne faisaient qu'y recevoir les courtisans pour les cérémonies du lever et du coucher.
Voici celle de la Reine, verte et or. Elle a été occupée successivement par l'épouse de Louis XIV, Marie-Thérèse d'Autriche, puis par Marie Leszczinska, épouse de Louis XV et par la tristement célèbre Marie-Antoinette. On y voit même la porte dérobée par laquelle cette dernière s'échappa avec ses enfants en octobre 1789 après une dernière apparition de la famille royale au balcon de la chambre du Roi.
Voici justement un tableau de la reine Marie-Antoinette entourée de ses 3 enfants.
Joli, non ?
Mais le clou de la visite, c'est naturellement la Galerie des Glaces qui a été longtemps fermée au public pour raisons de restauration de son plafond et réouverte depuis 2008. Comme vous pouvez le constater, nous n'étions pas les seuls à la visiter...
Pas désagréable non plus dans son genre le plafond du salon d'Hercule !
Allez, c'en est assez pour les intérieurs : passons aux jardins maintenant.
gNous sommes en possession d'un plan qui va nous permettre de nous promener à travers les bosquets et les fontaines de cet immense jardin à la française, à la découverte des illuminations toutes plus ingénieuses les unes que les autres.
Tout d'abord, un coup d'oeil sur le parterre de l'orangerie (plan A2-C3)
Le soir tombant donne lieu à un joli coucher de soleil : normal, on est à Versailles...
Des allégories des 4 grands fleuves français et de leurs affluents ornent les deux grands parterres d'eau faisant face au château. Voici celle de "la Saône" (plan 1)
Les jardins dessinent des arabesques mystérieuses... (plan 2)
Les jardiniers s'en donnent à coeur joie pour mélanger fleurs et couleurs.
Vous sentez l'odeur des oeillets, j'en suis sûre !
Descendons un peu plus bas pour admirer encore et encore des fontaines. Tiens, des bulles de savon ! Elles sont propulsées par d'immenses ventilateurs pour la plus grande joie des petits et des grands.
Le bassin de Latone (plan D)
Le bassin du miroir illuminé (A4)
le bosquet de la colonnade (plan A6)
Le retour s'effectue par le tapis vert animé d'installations pyrotechniques (E).
Le point d'orgue de cette promenade est le feu d'artifice qui est tiré à 23h05 très précisément depuis le bassin du char d'Apollon (F). Il est prévu pour durer un quart d'heure et on l'attendait impatiemment. Pour l'admirer loin de la foule qui a envahi les parterres, nous remontons jusqu'au château, ce qui me permet un dernier essai de photo nocturne dont je ne suis pas mécontente !
Bon : pas vraiment plus beau que celui du 14 juillet à Chamesson... sinon peut-être au niveau du bouquet final !
En prime, le diaporama de RFI sur les grandes eaux nocturnes
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