•  Les photographes étaient nombreux à Londres en ce 29 avril 2011...

    Mariage-Kate-et-William-150.jpg

     Et moi, j'étais dans un fauteuil, bien au chaud dans notre petit appartement dont le conseil syndical a oublié de couper le chauffage... Armée de patience et de mon petit Lumix de poche, j'ai fait celle-ci et... j'en suis fière !

     Kate-voilee.jpg

     Bon, celle-ci est un peu moins réussie

    mais c'est pour vous donner une idée du marié

     au cas où vous auriez loupé l'événenement...

     Vous donnez votre langue au chat, je parie !

     Prince-William-copie-1.jpg

     Mais oui, il s'agissait du mariage de Peter Pan avec Wendy !

     Peter-Pan.jpg

     Ha ha ha !


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  • Ce dimanche de Pâques, nous sommes allés à l'église ! Non non, je ne plaisante pas... J'avais repéré sur Billetréduc un concert "entrée libre" à la Basilique Sainte Clotilde rue Las Cases à Paris 7ème. Un bien étrange nom "lascaz" ! C'est celui d'un certain Emmanuel-Augustin-Dieudonné-Joseph connu pour avoir écrit le Mémorial de Sainte-Hélène, autrement dit pour avoir recueilli les mémoires de Napoléon Bonaparte du temps où il était en captivité à Sainte Hélène... Ici, le site de Napoléon : mais oui, lui aussi s'est mis à internet !

     Rue Las Cases

     Mais revenons à nos moutons.

    Voici la Basilique Sainte Clotilde qui donne sur le square Samuel Rousseau.

     Sainte Clothilde

     Dans le square, deux momuments intéressants. "L'éducation maternelle" d'Eugène Delaplanche (1875) avec un beau travail de plissés

    Square Samuel Rousseau l'éducation maternelle

     et un monument à César Franck très expressif aussi,

    réalisé par Alfred Lenoir en 1891.

     Monument à César Franck

     Cet ange aux yeux bridés inspira sûrement César Franck (premier titulaire de l'orgue de Sainte Clotilde). En tout cas, moi il m'a inspirée et le soleil a eu le bon goût d'éclairer le monument juste après le concert, et au bon moment !

    Monument à César Franck de près

     La Basilique est pleine quand nous arrivons une demie-heure avant le début du concert mais grâce à Billetréduc... nos places sont réservées dans les tout premiers rangs. Non non, je n'ai pas d'actions chez eux, je suis juste abonnée !

    Public église

     L'entrée de l'église est embellie par deux bénitiers à trois vasques surmontés d'un ange.

     Ange bénitier

    Dans le choeur, un superbe lutrin également en forme d'ange.

    Choeur et lutrin

    Le grand orgue est l'une des oeuvres majeures du facteur Aristide Cavaillé-Coll.

     Orgue Cavaillé-Coll

     Il comprend 71 jeux.

     Grand-orgue.jpg

    En première partie du concert, des oeuvres pour choeur et grand orgue de César Franck ainsi que des compositions espagnoles "a capella".

    Chef de choeur et choeur

    En deuxième partie, le requiem de Mozart : les musiciens de l'orchestre de Lutétia et les 40 choristes du conservatoire de Tomelloso en Espagne ainsi que les 4 solistes (2 sopranos et 2 basses) sont dirigés par le chef argentin, Alejandro Sandler.

    L'orchestre le chef et les sopranos

     

     Pour en savoir plus sur Alejandro Sandler, cliquer ici.

     Alejandro-Sandler.jpg

     Le concert était donné au bénéfice de la fondation "Allegro Argentina" dont l'objectif est d'aider les enfants du bidonville de Ludueña dans la banlieue de Rosario à sortir de la rue où ils sont livrés à la violence et à la drogue par l'apprentissage de la musique. Une école-orchestre a été ouverte qui permet aux enfants de venir y apprendre l'espagnol et les mathématiques, en échange de quoi, ils reçoivent une éducation musicale (des instruments sont achetés par la fondation qui restent la propriété de l'école).

    Ah, j'oubliais : nous étions au concert avec Roger : c'est un mélomane lui aussi.

    Admirez les belles roses qu'il m'a offerte !

     Guy et Roger 12 2005 4

     Rose-Roger.jpg


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  •  Le Mobilier National propose en ce moment à la Galerie des Gobelins une exposition sur les tissages de la Renaissance italienne mettant à l'honneur trois grands artistes : Raffaello Sanzio (plus connu sous le nom de Raphaël),     Giovanni da Udine  et  Giulio Romano (également appelé Jules Romain).   L'exposition rassemble une vingtaine de tapisseries provenant majoritairement de la collection de Louis XIV.

     L'éclat de la Renaissance italienne 022

     En 1503, Jules II est élu pape. Il tente durant son règne de faire de Rome le centre religieux et culturel du monde occidental. Il confie à Raphaël le décor de quatre des pièces de ses appartements, dites "Chambres du Vatican" ou "Stanze di Rafaello". L'une d'entre elles, la Salle de Constantin, réservée aux cérémonies officielles, est à la gloire de cet empereur qui a été le premier à s'être converti au christianisme et à proclamer la liberté de culte.

       C'est dans la manufacture des Gobelins à la fin du 17ème siècle qu'on été tissées les créations de Raphaël pour les Chambres. L'exposition montre ici une gigantesque tapisserie (4,23 x 9,13 m) intitulée "La bataille de Constantin" d'après une esquisse de Raphaël (dont l'exécution a été confiée à Jules Romain, son élève, après la mort du maître). Pour voir la fresque de Raphaël, cliquer ici.

     Constantin et Maxence étaient en rivalité pour devenir les Césars de la Rome antique. L'action se passe en 312 après Jésus-Christ : au milieu de la mêlée des fantassins et des cavaliers, Constantin, sur un cheval blanc, se dirige vert le pont Milvius qui enjambe le Tibre, au nord-est de Rome.

     La bataille de Constantin

     Détail montrant Maxence, le rival de Constantin, qui se noie dans le Tibre

     La bataille de Constantin détail

     Vive Constantin, nouvel empereur de Rome !

     Autre pièce marquante de l'exposition, la Tenture de l'Histoire de Scipion d'après Jules Romain initialement commandée par François Ier au 16ème siècle et dont de nombreuses copies ont été réalisées. Celle du Maréchal de Saint-André est retissée par les ateliers des Gobelins à la fin du 17ème pour Louis XIV et est exposée au grand Trianon en 1693.

    Parmi les tapisseries exposées, deux d'entre elles ont retenu mon attention par la vivacité des coloris et la luminosité qui s'en dégage : Le repas chez Syphax et l'incendie du camp.

    L'histoire se passe environ 200 ans avant Jésus-Christ... Après s'être rendu maître de l'Espagne, Scipion envisage de continuer la guerre en Afrique (Scipion l'africain, je suis sûre que ça vous dit quelque chose !). Il sollicite l'alliance de Syphax, roi de la Numidie occidentale. Ce dernier le reçoit à sa table en même temps que son rival, Hasdrubal, frère d'Hannibal. On a tous entendu parler des guerres puniques...

    Le repas chez Syphax Jules Romain centre

     Finalement, Syphax s'allie à Hasdrubal contre Scipion. Mal lui en prend puisque celui-ci les défait tous les deux en incendiant leurs camps à la faveur de la nuit... La tapisserie ci-dessous (4,55 x 3,42 m) montre les combats illuminés par l'incendie.

     L'incendie du camp Jules Romain

     Et si on apprenait l'histoire par l'iconographie, ce serait plus simple, non ?

    En tous cas, pour moi qui ait une mémoire visuelle, "c'est tout bénef" !

     L'exposition se tient depuis le 12 avril et dure jusqu'au 24 juillet.

     Un détail : j'étais toute seule à visiter l'expo...

    (c'est vrai que parfois les tapisseries c'est un peu rébarbatif... mais celles-ci sont splendides).


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  • Depuis plus de 10 ans que nous habitons le 13ème arrondissement, nous ne l'avions pas encore visité... Impardonable n'est-ce pas ! Heureusement, cet oubli est réparé grâce à l'association "Secrets de Paris" qui nous a proposé hier une visite guidée du quartier chinois fort bien documentée et bien sûr très pittoresque.

     Rendez-vous donné au coin des avenues d'Ivry et de Choisy : station Vélib.

    Ca tombe bien, on est venus en vélo !

     La communauté "chinoise" est composée dans ce quartier à 80% par des chinois et à 20% par des vietnamiens, des laotiens ou des cambodgiens. Elle représente 12% de la population totale du 13ème arrondissement de Paris, soit 20 000 personnes. La prospérité économique du quartier dont elle est à l'origine a fait monter le prix de l'immobilier et la population a dû migrer vers d'autres quartiers plus populaires pour se loger, tout en y conservant leur activité commerciale : de l'herboristerie au cabinet radiologique en passant par les pharmacies et les banques bien sûr (le nerf de la guerre), toutes les enseignes sont chinoises  (traduites en français aussi car c'est une population qui s'est bien intégrée).

     Thomas Dufresne, notre guide, commence la visite en nous faisant découvrir une véritable caverne d'Ali Baba en matière d'herboristerie naturelle "La calebasse verte", située dans une petite rue donnant sur l'avenue de Choisy. Ici, on trouve de tout pour se soigner des pieds à la tête mais attention : il faut savoir ce qu'on vient y chercher car on n'y donne aucun conseil et on y perd son latin en entendant parler... chinois !

     A la calebasse verte

    En continuant l'avenue de Choisy, on passe devant plusieurs restaurants : notre guide nous signale au numéro 44, "Au bonheur d'Asie" qui offre un buffet à volonté pour 10-11 euros en semaine le midi, un peu plus cher en week-end. Il faut payer le buffet avant de déguster... Il faudra qu'on l'essaie !

     Restaurant Au bonheur d'Asie buffet à volonté

     A moins qu'on ne teste une autre fois, toujours sur les conseils de notre guide "l'Impérial Choisy" au numéro 32, un bon restaurant même si l'accueil n'est pas son fort... On se bouscule souvent pour y avoir une place et manger des plats (que l'on ne trouve pas partout) pour environ 25-30 euros.

     Restaurant Impérial Choisy

     Un peu de nourriture spirituelle pour changer : notre promenade nous entraîne maintenant vers Notre Dame de Chine, une église consacrée en 2006 et réservée à la communauté chinoise de Paris. Elle est située au 27, avenue de Choisy tout contre l'église Saint-Hypolite qui, quoique suffisament grande, s'adaptait mal aux besoins d'une communauté catholique fraîchement sortie du communisme et qui ne se reconnaissait pas dans une église traditionnelle française présentant Jésus sous les traits d'un enfant blond aux yeux bleus...

     Notre-Dame-de-chine-et-Saint-Hyppolite-copie-1.jpg

     Un chemin pavé sinueux symbolisant le dragon que l'on doit chevaucher avant d'entrer dans une construction chinoise guide les fidèles jusqu'à l'entrée de l'église.

     Notre Dame de chine architectes

     Notre guide devant l'église

     Le guide Thomas Dufresne devant Notre Dame de Chine

     Même si ici les missels sont les mêmes qu'à Saint-Hyppolite et mis à disposition des fidèles contre ce mur fait de galets provenant des plages normandes,

     Missels et murs de Notre Dame de Chine

     le petit Jésus a les yeux bridés (!) et un poisson dans la main qui représente, dans la culture chinoise, les chrétiens.

     Statue de Notre Dame de Chine 2

     Nous traversons ensuite le centre Massena en passant près du restaurant "Chine Massena" qui peut recevoir jsuqu'à 800 convives lors des mariages qui s'y déroulent...

     Le centre Masséna

     pour aller nous ballader dans un des hypermarchés chinois du quartier : j'ai nommé "Paris Store", le concurrent des "Frères Tang".

     Hypermarché Paris Store

     Au plafond du magasin, les lanternes donnent le ton.

     Philippe chez Paris Store

     L'alimentation au rez-de-chaussée est approvisionnée avec des produits typiquement chinois. Ici, des fruits du dragon que je me propose de déguster un de ces quatre...

     Fruits de dragon de chez Paris Store

    A l'étage, un dragon de tissu décore le magasin. De la vaisselle : en veux-tu en voilà et aussi des jeux d'échecs, des fleurs artificielles pour fêter l'arrivée du printemps, des bouddhas, des petits autels pour la maison (Le culte des ancêtres n'est pas oublié) etc etc... Bref, ici c'est la Chine !

     Dragon-dans-Paris-Store.jpg

     Jeux d'échec chinois de chez Paris Store

    fdqfqdFleurs-porte-bonheur-de-chez-Paris-Store.jpg

     Autels de maison de chez Paris Store

     Sitôt sortis du magasin, nous nous retrouvons sur la dalle des Olympiades cernée par les buildings construits dans les années 60-70 pour mettre fin à l'insalubrité de certains quartiers du 13ème, juste avant l'afflux des boat-people..., une chance pour les architectes dont le projet commençait à tomber à l'eau !

     La dalle des Olympiades

     Le-quartier-Italie.jpg

     C'est dans cet univers de béton que se trouve "l'amicale des Teochew en France", un lieu de culte bouddhiste bien sûr mais aussi d'identité culturelle de cette communauté issue de la province du Guangdong au sud du pays.

    Deux grands brûle-parfums  (placés à l'exptérieur du temple pour des raisons de sécurité) marquent l'entrée du temple qui occupe un espace de 200 m².

     Temple boudhiste des Theochew Brûle encens

     A l'intérieur, après s'être déchaussés, on accède à une première petite salle où trône la statue du "grand immortel Huang", sereinement installé parmi les offrandes. Huang Chuping est né en 328 de l'ère chrétienne sous la dynastie . A l'âge de 15 ans, il se retira dans une grotte pour y étudier la Voie et comprendre les principes du taoïsme afin de devenir immortel. Après avoir toruvé la Voie, il parvint à devenir immortel après quarante années d'efforts. Il est vénéré en tant qu'immortel qui apporte fortune et bonheur.

     Amicale des Theochew en France autel à l'entrée du temple

     On entre ensuite dans la salle principale du culte où dix-huit "Luohan" (arhat en sanscrit) d'allure plus ou moins étrange, voire menaçante... (9 de chaque côté) apportent néanmoins vertu et bonté à tous. Ce sont des gardiens immortels et protecteurs de la Loi, disciples de Bouddha. En Chine, ils sont vénérés, adorés et honorés depuis les dynasties Tang, soit depuis 1500 ans environ... Les pupitres ne servent pas à faire de la musique contrairement à ce que l'on pourrait penser : les fidèles bouddhistes y accomplissent les gestes prescrits par la tradition face à l'autel principal où sont situés les trois Bouddhas.

     Amicale des THeochew en France temple 9 luohans parmi les 1

     Autel-des-trois-bouddhas-de-l-amicale-des-Teochew-en-France.jpg

     Deux autres autels latéraux permettent aux fidèles de venir se recueillir.

     Amicale des Theochew en France intérieur temple 2

     Mais retrouvons la vie avec la Chine ouvrière. le magasin "Chhay Hac" de la galerie marchande vend et répare les machines à coudre : un vieux souvenir pour nous français du 21ème siècle... et un peu de nostalgie peut-être ?

     Magasin Chhay Hac machines à coudre

     Dans le magasin "Ao-Ta", on trouve de riches brocards nous dit notre guide.

     Magasin de vêtements Ao Ta

     En témoigne ce mannequin qui trône en vitrine.

     Magasin Ao Ta mannequin

     Et puis, la dalle des Olympiades, c'est encore le domaine des restaurants !

     "L'Asia Palace" (44, avenue d'Ivry) propose le canard laqué de Pékin en trois services : la peau croustillante servie avec des crêpes chinoises, la soupe de canard et les nouilles sautées qui accompagnent la viande, le tout pour 64 euros : un plat qui peut convenir pour 2 personnes (gourmandes) ou 4 plus petits appétits !

     Restaurant Asia Palace

     Rue du disque, c'est aussi l'adresse de ce temple  dédié au culte de Bouddha. Mais pour trouver le temple, mieux vaut y avoir été conduit par un connaisseur : il se trouve au numéro 37 mais... dans le parking sousterrain de l'immeuble !

     Autel de culte de Bouddha

     Autant, comme vous pouvez le constater, les abords sont sinistres... autant à l'intérieur y règne une grande sérénité. Est-ce parce que nous sommes samedi ou est-ce tous les jours, je ne sais pas, mais il y avait ici réunis près des autels dédiés au Bouddha plusieurs musiciens jouant des instruments typiques (instruments à vent, violon à 3 cordes) qui n'ont pas prêté attention à notre intrusion (discrète). Note : ici, on n'enlève pas ses chaussures !

     Autel de culte de Bouddha autel

     Autel de culte de Bouddha autel 2

     

    Au fait, mon signe chinois est le buffle ! et le vôtre ? Cliquez ici pour savoir.


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  •  Une première pour nous !

    Nous ne l'avions encore jamais applaudi : voilà chose faite, ce vendredi au Zénith de Rouen. Le chanteur y faisait sa "Dernière Séance" pour mettre fin à 50 ans de scène...

    Eddy Mitchell affiche

     Un spectacle auxquels les journalistes de la presse régionale avaient été conviés

    (les veinards étaient mieux placés que nous pour faire des photos !) Voici celles de l'édition internet de dimanche du "Paris-Normandie".

     Eddy Mitchell Paris Normandie zénith

     Eddy Mitchell Paris Normandie 1

     De l'adaptation de la chanson de Chuck Berry "C'est un rocker" qu'il chante en ouverture pour donner le ton en passant par des chansons douces comme "Sur la route de Memphis" jusqu'à "Pas de Boogie Woogie" avec laquelle il termine son récital, Eddy nous régale.

     La critique du spectacle ? Un bon clic vaut mieux qu'un long discours

    (qu'en plus, je ne saurais faire...)

     Un brin trop de basses tout de même (ça faisait "toc-toc" dans la poitrine !) mais c'est parait-il le goût du public d'aujourd'hui et aucun chanteur ne peut y échapper. Dommage, ça empêche parfois de saisir les textes qui sont pourtant si originaux...

     Eddy, qui fait la première partie de son spectacle seul avec quelques musiciens dont son guitariste Basile Leroux, s'offre le luxe en deuxième partie d'être accompagné par douze cuivres dont l'excellent saxophoniste Michel Gaucher.

     Aux trois-quarts du spectacle, l'orchestre est envahi par les fans du chanteur avides de de voir de près leur idole et de lui serrer la pince... Le chanteur, qui reste proche de son public, s'exécute gentiment pour leur plus grand plaisir.

     Eddy termine son répertoire

     Merci Eddy !


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